Atelier « Se libérer des blessures émotionnelles »

J’ai le plaisir de vous présenter mon nouvel atelier bien-être personnel: « se libérer des blessures émotionnelles ».
Les blessures émotionnelles prennent racine dans l’enfance et dans les expériences de vie.. Elles font naître de manière inconsciente des croyances limitantes et des programmes qui conditionnent nos pensées et nos actions. Elles finissent par nous faire vivre à répétition des scénarios négatifs qui impactent notre vie professionnelle, sociale, familiale ou encore relationnelle. Ces blessures sont enfouies parfois depuis très longtemps. Elles sont nos parts d’ombre qui agissent comme de véritables auto-saboteurs. Tant que nous n’en prenons pas conscience, nous continuons à les laisser vivre en nous, à les nourrir et à les entretenir.
J’ai à cœur de vous proposer cet atelier pour vous accompagner à faire un magnifique voyage intérieur.  Je vous transmettrais des clés et des outils puissants issus du coaching et de la programmation neuro-linguistique pour vous aider à vous libérer de votre charge émotionnelle.
Cet atelier se déroule sur 3 rencontres, au cours desquelles vous allez apprendre à :
-Identifier vos blessures et leurs impacts sur votre vie
-Vous libérer de vos croyances et de vos blocages inconscients
-Activer vos ressources positives pour retrouver la liberté d’être vous-même
Un carnet de bord pour continuer votre travail intérieur entre les séances vous sera offert.
Les ateliers se dérouleront dans le  magnifique cadre du centre bien être Natur’Santé 66 à Saint Jean Lasseille.
Pour respecter l’intimité et la convivialité de nos échanges, la participation est limitée à 5 personnes.
Dates du prochain cycle: lundi 27/11, lundi 04/12, lundi 11/12 de 14h30 à 16h30
Tarif : 90€ le cycle complet (les 3 rencontres)

Dire stop à la culpabilité parentale

La culpabilité parentale

Quand on est parent, nous vivons certains jours des mésaventures:

  • oublier de mettre le goûter dans le cartable des loulous
  • être en retard à la garderie
  • ne pas avoir envie de jouer avec eux
  • être fatigué (e) et s’énerver pour un rien

Et que se passe t’il la plupart du temps juste après ces moments-là ? On CULPABILISE !

Ça vous arrive aussi ? Arrêtons-nous un court instant sur le mot  « CULPABILITÉ »

Le mot culpabilité provient du latin culpabilis qui signifie coupable (lui-même étant issu du terme  culpa  signifiant faute, et apparenté au mot scelus signifiant crime). Si on résume, voici le sens que ça prend:

  • culpabiliser = se sentir coupable de
  • être coupable = commettre une faute avec l’intention de nuire

C’est violent tout de même non ??

 

Quand nous nous sentons coupables …

Voici maintenant ce qu’il se passe en nous lorsque nous nous sentons coupables :

Notre cerveau est programmé, en fonction des émotions qu’il traverse, pour nous envoyer des signaux, à travers des pensées automatiques et des croyances. Ces dernières conditionnent nos comportements. S’enclenche alors une boucle à laquelle la culpabilité n’échappe pas : on ne se sent pas bien, on a des remords, on s’en veut, on se dit qu’on est nul… On peut ressentir de la colère, de la tristesse ou encore de la dévalorisation. Cela peut même toucher notre estime personnelle et nous miner la soirée entière !

Maintenant je vous propose un petit recadrage linguistique. A chaque fois que vous prononcez la phrase « je culpabilise », je vous invite à la remplacer par l’expression « j’ai agi avec l’intention de nuire »

Si nous reprenons nos exemples initiaux, cela donnera à peu près ça :

  • j’ai « agi avec l’intention de nuire » à mon enfant en oubliant son goûter
  • j’ai « agi avec l’intention de nuire » à mon enfant en refusant de jouer avec lui
  • j’ai « parlé avec l’intention de nuire » à mon enfant en lui criant dessus

Ça sonne bizarre non ? Vous trouvez que ça n’a plus aucun sens ?? Et c’est bien normal, car effectivement, ça n’a plus aucun sens !

Pourtant, à chaque fois que vous vous sentez coupable, c’est un peu comme si vous vous prononciez à vous-même ces phrases insensées. Et du coup, cela agit de manière inconsciente sur vos pensées ainsi que sur vos comportements, en vous faisant rentrer dans la boucle infernale.

Comment dire stop à la culpabilité ?

Dès que j’ai fait ou dit ce que je pense être une erreur, je peux changer immédiatement mon état en modifiant mes propos:  j’apprends à dire stop au « je culpabilise » qui n’a aucun sens, et dès lors, mon curseur émotionnel commence à baisser.

A la place,  je prononce des phrases positives (et plus proches de la réalité aussi). Voici nos exemples initiaux:

  • J’ai le droit d’avoir oublié le goûter de mon loulou, je n’avais pas l’intention de le priver
  • J’ai le droit d’être en retard, je n’avais pas l’intention de lui nuire
  • J’ai le droit d’être fatigué (e) et de ne pas avoir envie de jouer sans que cela soit une faute
  • J’ai le droit d’avoir eu une mauvaise journée / nuit / semaine…
  • J’ai le droit d’avoir des émotions et du mal à les gérer moi aussi

Vous voyez le principe ? Changer le sens des mots que nous prononçons fait en quelque sorte « buguer » notre cerveau. Celui-ci doit chercher de nouvelles pensées, correspondantes aux messages qu’il reçoit, et cela aura pour effet positif d’enclencher de nouveaux comportements.

Le message « j’ai le droit » évoque la légitimité, ce qui va générer des pensées et actions relevant de la gratitude et du pardon. Voilà de quoi s’éloigner du coupable-criminel de parent que l’on croyait être !

Alors n’attendez plus pour vous auto-recadrer dès que la culpabilité pointe le bout de son nez…

N’oubliez pas, vous êtes de merveilleux parents et vous faites toujours de votre mieux !

Votre cerveau est votre meilleur allié et vos paroles sont puissantes … Grâce à ces outils, vous avez maintenant le pouvoir de dire stop à la culpabilité parentale.

Illustrations: Pixabay, libres de droit

Texte: Julie Pontarolo

 

 

 

Atelier « Au pays des émotions des tous-petits »

 

Les émotions des enfants, surtout lorsqu’ils sont plus petits, ne sont pas toujours faciles à gérer au quotidien. Au cours de cet atelier spécial parents, je vous propose de venir découvrir de manière ludique et participative:
* les principaux besoins cachés derrières les émotions des tous-petits
* des astuces concrètes à mettre en œuvre en cas de crises émotionnelles
Pour qui ?
Cet atelier s’adresse aux parents d’enfants en bas âge (0 – 6 ans)
Où ?
A la coopérative bien-être Natur’Santé66  (14bis Rue Dora AMELAN – la Cabane , 66300 Saint-Jean-Lasseille)
Pour tout renseignement et inscription,  contactez moi :
Burn-out-parental

Comprendre le burn-out parental

Le burn-out parental est une épreuve que chacun peut être amené à traverser au cours de sa vie de parents. Même si le syndrome de « burn-out » est issu du monde du travail, on emploie le terme de burn-out parental pour désigner un état d’épuisement lié à la surcharge psychique et psychologique impliquée par la parentalité.

On distingue 3 phases dans le burn-out parental:

L’épuisement: A force de puiser dans ses ressources pour affronter le quotidien, le parent consomme beaucoup d’énergie et son réservoir se vide. Il n’a alors plus la capacité de faire face à ses tâches et obligations, et se retrouve submergé devant des situations banales qui lui apparaissent comme insurmontables.

La distanciation émotionnelle: Face à l’épuisement, sa seule façon de continuer à vivre est de réduire son investissement pour faire baisser sa consommation d’énergie. Il continue à effectuer ses tâches quotidiennes, tel un automate. Son esprit se coupe de son corps, il finit par ne plus rien ressentir et rester indifférent face à toute situation.

Le reniement: cette dernière phase, la plus critique, découle des deux premières. Le parent prend conscience du fossé entre l’idéal qu’il se faisait de la parentalité et le parent qu’il constate être. C’est la phase de l’effondrement à laquelle s’ajoute la culpabilité de l’échec et la colère. Le parent peut devenir incontrôlable, ce qui a pour conséquence d’aboutir à des comportements agressifs et violents, lesquels viennent renforcer encore plus la culpabilité. Cette étape de reniement engendre une perte de motivation et une chute de l’estime de soi, ce qui peut avoir pour conséquence de faire sombrer le parent dans la dépression.

Les causes pouvant conduire au burn-out sont multiples : le stress liés à la parentalité (manque de sommeil, pleurs, incertitudes et inquiétudes), la gestion du quotidien et la charge mentale. A ceux-là peuvent s’ajoutent la culpabilité de l’imperfection éducative, le manque de reconnaissance… Peu à peu, la pression finit par s’accumuler au point de rendre le parent impuissant face à l’épuisement.

Les symptômes du burn-out parental peuvent être lourds de conséquences sur la vie de famille : ils s’expriment par l’épuisement mais on relève aussi des troubles physiologiques (maux de tête, douleurs musculaires, nausées, vertiges, troubles du sommeil), des troubles du comportement (colère, irritabilité, repli sur soi, frustration, impulsivité, isolement et dans les cas les plus graves, addictions) ainsi que des troubles cognitifs et émotionnels (pessimisme, hypersensibilité, sentiment d’impuissance, difficultés à envisager l’avenir, perte de confiance et d’estime, dépression).

Quel accompagnement proposons-nous en Coaching ? On l’appréhende à plusieurs niveaux, notamment pour comprendre comment le cercle vicieux s’est construit et se maintient. La prise en charge du burn-out parental commence déjà par sa reconnaissance, et l’identification de ses symptômes : l’écoute et l’empathie du Coach apportent un premier élément de soutien envers le parent.

Il sera ensuite possible, selon les causes, de travailler sur la gestion du stress, ainsi que sur l’exploration des limites, besoins individuels et ressources à disposition de la personne, autant d’étapes nécessaires à la mise en place d’un plan de reconstruction.